L’union locale est animée par des militants pour vous accueillir et répondre à vos questions, éventuellement pour vous accompagner dans des démarches syndicales ou prud’hommales. L’activité de l’union locale dépend des cotisations de ses adhérents, alors n’hésitez pas à vous syndiquer.
Une union locale proche de vous
Dunkerque et environs
Les permanences
Les locaux de l’union locale CGT de Dunkerque accueillent le public pour répondre aux questions des salariés et des consommateurs et guider les demandeurs vers les militants qui sauront répondre aux questions. (Coordonnées en pied de page)
L’accueil de l’Union Locale est ouvert les lundi, mardi, jeudi et vendredi de 8h30 à 12h30 et de 13h30 à 16h30
Le mercredi l’accueil se fait en distanciel par mail ou par téléphone aux mêmes heures.
Des permanences sont également organisées par certaines fédérations professionnelles de la CGT :
- Syndicats des métaux : le [jour], de x h à x h
Possibilité de joindre un militant de la fédération de la métallurgie au xx xx xx xx xx ou par mail : xxxxxxxxxxx@xxxxxxxx - Syndicats du bâtiment : le [jour], de x h à x h
Possibilité de joindre un militant de la fédération de la metallurgie : xx xx xx xx xx ou par mail : xxxxxxxxxxx@xxxxxxxx
Les défenseurs syndicaux
Le défenseur syndical assiste ou représente les salariés et les employeurs devant les conseils de prud’hommes et les cours d’appel en matière prud’hommale. Dans le cadre de ses missions, il conseille et défend les salariés et les employeurs au cours de la procédure. Le défenseur syndical intervient uniquement dans le périmètre de la région administrative où il a été désigné.
La liste peut être consultée soit dans chaque conseil de prud’hommes (Conseil de Prud’hommes de Dunkerque 18 quai au bois, 59378 Dunkerque cedex 1 / Tél 03 28 23 53 00), soit à la Dreets (Direction régionale de l’économie, de l’emploi, du travail et des solidarités : 70 Rue Saint-Sauveur, 59800 Lille / Tél : 03 20 96 48 60)
Des militants de l’union locale CGT de Dunkerque et environs sont disponibles pour jouer le rôle de défenseur syndical à vos cotés : contactez-nous.
Les conseillers du salarié
Dans les entreprises dépourvues d’institutions représentatives du personnel (selon le cas, nouveau comité social et économique, délégué syndical, etc.), le salarié convoqué à un entretien préalable au licenciement a la faculté de se faire assister lors de cet entretien par un conseiller du salarié. En cas de licenciement dans ces entreprises, la lettre de convocation à l’entretien préalable au licenciement (envoyée en recommandé avec accusé de réception ou remise en main propre contre récépissé) doit mentionner la faculté pour le salarié de se faire assister par un conseiller du salarié et préciser l’adresse des services où la liste des conseillers du département est disponible.
Le salarié convoqué à un entretien préalable au licenciement choisit un conseiller du salarié sur la liste du département de son établissement. Il lui communique la date, l’heure et le lieu de son entretien. Le salarié dispose d’un délai minimum de 5 jours ouvrables pour trouver un conseiller du salarié, l’entretien préalable au licenciement ne pouvant avoir lieu moins de 5 jours ouvrables après la présentation au salarié de la lettre de convocation.
Le salarié doit informer son employeur de la présence du conseiller à l’entretien. L’employeur peut demander à celui-ci la justification de sa qualité, mais il ne peut s’opposer ni à son entrée dans l’établissement, ni à l’exercice de la mission d’assistance du salarié lors de l’entretien préalable au licenciement.
Les conseillers du salarié figurent sur des listes préparées dans chaque région par le directeur régional de l’économie, de l’emploi, du travail et des solidarités (Dreets – Ddets) du territoire concerné. Elles peuvent être consultées dans chaque section d’inspection du travail ou dans toutes les mairies.
Des militants de l’union locale CGT de Dunkerque et environs sont disponibles pour jouer le rôle de conseiller du salarié à vos cotés : contactez-nous.
L'Avenir nous appartient
Un siècle d’histoire au service des travailleurs.
En août 1900, devant le siège du journal « L’AVENIR » à Dunkerque, Félicien Girard, docker et co-fondateur de la CSOP (Conseil Syndical des Ouvriers du Port) lançait le slogan « L’AVENIR nous appartient ». Ce mot AVENIR va alors s’inscrire dans une revendication : la création d’une Bourse du Travail. Mainte fois refusée par les pouvoirs publics locaux, les syndicalistes dunkerquois décidaient alors de lancer une souscription publique pour la construire.
De mars 1903 à mai 1904 : il aura fallu 14 mois, de l’achat du terrain à l’inauguration de la Bourse du Travail CGT au sein du bâtiment qu’ils nommeront L’AVENIR.
En 1936, durant les gigantesques conflits de juin, son toit servira de tribune de fortune aux grévistes . Au cours de la 2ème guerre mondiale, il sera fermé par décret-loi en septembre 1939, il sera mis sous scellés et détruit en 1940 par des bombes incendiaires.
Deux décennies plus tard, en novembre 1961 une inauguration officielle du nouvel « AVENIR » a lieu.
En octobre 2001, il devient propriété de l’Union Départementale CGT des syndicats du Nord.
Fin 2016, à la sortie de son 42ème congrès, la CGT du Nord décide de créer une association dénommée « L’AVENIR nous appartient » pour travailler à sa réhabilitation. Depuis, toutes les occasions sont saisies pour faire la promotion du bâtiment de L’AVENIR. De fait, des adhésions arrivent, des dons sont versés.
En réhabilitant ce patrimoine de la CGT, sur lequel, ne l’oublions pas, est posée une stèle en hommage aux victimes de l’exploitation capitaliste, nous faisons notre devoir de mémoire. L’obligation morale de se souvenir d’événements historiques, souvent tragiques et de ses victimes, afin de faire en sorte que rien ne s’oublie.
Lire la suite dans le site l’Avenir nous appartient.